Pour comprendre la maison de Papehue, ou plutôt les maisons car il y avait le petit fare qui accueillait les visiteurs, le vieux fare, encadré de purau et de tipanie, parfumé par le kahaia, qui datait des années trente et avait toujours été amoureusement entretenu, le bureau avec sa Grande bibliothèque,
la cuisine et son salon où le saumon scandinave, la choucroute alsacienne côtoyaient les plats polynésiens. Il faut imaginer le grand espace, les vieux arbres, la plage avec parfois ses méchantes vagues, et la rivière Papehue, il faut se référer au poème de Henri Hiro : Tu es unique et tellement vraie !
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